
Au bout du jardin de l’ouvroir, divisé en quatre parties correspondant aux quatre logements actuels, remarquez le petit lavoir à plancher mobile.
Tout près de celui-ci s’élève un édicule qui servait à faire bouillir de l’eau.
Celle-ci était versée sur le linge disposé sur un cuvier sur une épaisse couche de cendres pour y dissoudre les sels chimiques.
Après coulage, le retirage consistait à savonner au lavoir les tâches rebelles et à rincer. Pour finir, essorage au battoir, étendage sur fils ou sur herbe.
